6 février 2007
J’accroche l’hiver aux portes manteaux, pour
J’accroche l’hiver aux portes manteaux, pour quelques nuits acides et leurs mots indomptés. Je démolis le ciel, ses dominantes de gris, au son de musiques neuves. Au chant des possibles. Mon rêve en diagonale sent le béton armé, quel que soit le sens...