13 août 2006
Au plaisir
Un ineffable désir
Noie la ténue rébellion
Inonde l’affolant vallon
Sous l’union des soupirs
Aux râles des corps arrimés
Les mains avides frémissent
Les chairs tendues s’immiscent
Dans ce ventre affamé
Brûlant les entrailles
L’ambroisie se répand
Sur ce corps alourdi
Au bienheureux évasement
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